Salieri’s Cublai Khan (Alzima), Theater An der Wien, April 2024

Cond. Christophe Rousset, Dir. Martin G Berger

“At the heart of the production lies the luminous portrayal of Alzima by Marie Lys, an artist whose virtuosity on the stage mirrors her accolades in the Baroque opera scene. Lys's command of the role is nothing short of transcendent, infusing Alzima with a captivating blend of grace, wit, and vocal prowess. With her flexible voice, Lys navigates Salieri's intricate melodies with precision and emotional depth, drawing audiences into Alzima's world of intrigue and ambition. (…)

Central to the production is the character of Alzima, brought to life by Marie Lys with exquisite nuance. Alzima's journey—from court intrigue to personal revelations—becomes a microcosm of the opera's thematic depth. Lys's performance embodies the spirit of Baroque opera, infusing each aria with emotional resonance and vocal virtuosity. (…)

With Marie Lys's unforgettable portrayal of Alzima at its heart, this production transcends time and genre, inviting audiences on a transformative journey through history and humanity. (…)

Marie Lys's performance as Alzima shines brightly in this constellation of talent, affirming her status as a luminary in the Baroque opera pantheon. Her captivating portrayal infuses the production with a transcendent grace that resonates deeply with audiences, solidifying her legacy in the realm of classical opera.”

— European News Agency (Full review here)

“Marie Lys is in firm control of the coloratura given to Alzima, having a notably volatile aria in Act II to which she brings something of the ripeness of tone and fluency of Edita Gruberová in her vocal roulades.”

— Seen and Heard International (Full review here)

“De la soprano Maria Lys (Alzira) se recuerdan agudos seguros y excelentes agilidades. La coloratura es hermosa.”

— Scherzo (Full review here)

“Alasdair Kent as Timur and Marie Lys as Alzima’s duets were delightful highlights conveying warmth and believability about them that prompted well-deserved enthusiastic applause.”

— Thoroughly Good classical Music (Full review here)

“The quality of the soloists – Marie Lys's delicate phrasing as businesswoman Alzima (all while holding a real-life Pomeranian dog); Carlo Lepore's (Kublai) richly resonant bass – stood out among the rainbow/condom ticker tape.”

— Opera Now (Full review here)

“Marie Lys, als Alzima eine gewiefte trolley-Geschäftsfrau, bewältigt ihre halsbrecherischen Paradearien bravourös und beeindruckt auch beim berückenden zwiegesang mit Alasdair kent.”

— Frankfurter Allgemeine (Full review here)

“Besonders noch beachtenswert der großartige und höhensichere Sopran von Marie Lys”

— Klassik begeistert (Full review here)

“Fast mozartische Höhen erreicht Salieri mit den Arien von Alzima, der „Russin“, Marie Lys wäre auch eine tadellose Fiordiligi.”

— Salzburger Nachrichten (Full review here)

Marie Lys, a wonderful Baroque singer, had brilliant coloratura moments as the shrewd businesswoman, Alzima.”

— Bachtrack (Full review here)

Mozart’s Così fan tutte (Despina), Opéra de Lausanne, January 2024

Cond. Diego Fasolis, Dir. Jean Liermier

La Mozart touch et comment l’avoir…

Tant est délicate la balance mozartienne…
Mais, puisque nous en sommes à la Mozart touch, c’est à Marie Lys qu’on donnera la palme. Qui, tout en jouant tout à fait le jeu de la mise en scène, chante de façon exquise les deux airs de Despina, envoyant des coloratures à la fois brillantes et drôles dans « In uomini in soldati » et dans « Una donna a quindici anni » glissant un « Hé ! Ragazzi ! » adressé aux garçons passant dans la strada, aussi saugrenu que délicieux. Mais c’est surtout l’équilibre parfait entre mille ingrédients, la beauté du chant (et du timbre), le legato, l’ironie, le respect impeccable du texte, et en même temps la liberté, l’imagination, le charme, le piquant, l’apparente facilité, la désinvolture, qui font penser « Voilà, Mozart est là… »”

— Forum Opéra (Full review here)

“La distribution vocale est, quant à elle, plutôt inégale : comme il y a cinq ans, elle est clairement dominée par Despina, incarnée cette fois par Marie Lys. Avec son incroyable abattage scénique et son énergie, chacune de ses apparitions est un vrai bonheur, que ce soit en servante, en médecin ou en notaire. La voix n’est pas en reste, homogène, puissante et lumineuse.”

— ConcertoNet (Full review here)

Mozart’s Don Giovanni (Zerlina), Opéra de Lille, October 2023

Cond. Emmanuelle Haïm, Dir. Guy Cassiers

“la splendide soprano suisse Marie Lys offre sa pétulance, sa fraîcheur et sa belle sensibilité à Zerlina, toute de musicalité délicate – se prêtant par ailleurs bien volontiers (et avec beaucoup de crédibilité ) à toutes les excentricités du metteur en scène !”

— Classique News (Full review here)

“En faisant de Zerlina un personnage volontaire qui prend les rênes de la séduction, Cassiers peut compter sur le sex-appeal de Marie Lys, soprano très bien chantante et convaincante même si la scène de l’agression est rendue moins compréhensible.”

— Classique c’est cool (Full review here)

“Zerline, sursexualisée, icône sado-maso avec fouet et poignard, se trouve gratifiée d’un coït non interruptus pour son second air après la gâterie du premier. Marie Lys prête à tout ce graveleux une présence aussi séduisante que son timbre riche, aux vocalises impeccables.”

— Forum Opéra (Full review here)

“La Zerlina de Marie Lys remporte la palme côté féminin alliant à l'évidence du jeu d'actrice un phrasé et une projection remarquables (Batti, batti, o bel Masetto). ”

— Wanderer (Full review here)

“Zerlina, interprétée avec expression et finesse par Marie Lys devient ainsi une figure sensuelle et violente assez inédite dans les mises en scènes habituelles du Don. Les moments qui la voient avec Masetto, couteau à la main, dans des poses très crues, fait d’elle un personnage d’une ambiguïté saisissante.”

— Transfuge (Full review here)

Handel’s Semele (title role), Internationale Händel-Festspiele Göttingen, May 2023

Cond. & Dir. George Petrou

“Marie Lys begeistert in der Titelpartie mit strahlenden Koloraturen und leuchtendem Sopran. Dabei changiert sie gekonnt zwischen den tragischen Stellen, in denen Semele unglücklich ist, den jubelnden Szenen, in denen sie mit halsbrecherischen Läufen ihrer Freude freien Lauf lässt, und trumpft auch noch als fordernde Geliebte mit dramatischen Ausbrüchen regelrecht auf. Glanzpunkte ihrer Interpretation sind natürlich die beiden Arien im dritten Akt, "Myself I shall adore" und "No, no! I'll take no less". Hier lässt Lys im Gespräch mit der verkleideten Juno zunächst die Koloraturen nur so perlen und entwickelt sich anschließend in der Auseinandersetzung mit Jupiter zu einer rasenden Furie.”

— Online Musik Magazin (Full review here)

Bernstein’s Candide (Cunegonde), Opéra de Lausanne, November 2022

Cond. Gavriel Heine, Dir. Vincent Boussard

“sa Cunégonde, Marie Lys, est elle aussi dans une forme vocale insolente : son air à coloratures, « Glitter and be gay ! » sera d’une ébouriffante virtuosité, avec ses trois contre mi-bémol impeccables, ses glissandos comiques, son apparente facilité, et de surcroît quelques acrobaties (voir photos) sur le portique central et une dernière note en s’y balançant comme au gymnase. Triomphe, applaudissements à n’en plus finir.”

— Forum Opéra (Full review here)

“La Cunégonde de Marie Lys fait, elle aussi, forte impression, notamment avec l’air le plus connu de l’opéra, « Glitter and be gay », ébouriffant feu d’artifice vocal, qu’elle chante qui plus est en faisant des acrobaties sur la porte en verre.”

— ConcertoNet (Full review here)

“Un mois après son triomphe à l’Opéra de Florence en remplaçant au pied levé Cecilia Bartoli dans le rôle-titre d’Alcina, la soprano lausannoise Marie Lys triomphe à nouveau sur scène, « à domicile » cette fois. Elle n’a aucune peine à donner tout son éclat au célèbre « Glitter and be gay » de Cunégonde, cette parodie des airs de cocottes de l’opéra-comique à la fin du XIXe siècle, et joue un personnage ne perdant jamais son aplomb malgré ses affreuses vicissitudes.”

— Opéra Online (Full review here)

“La Lausannoise Marie Lys (Cunégonde) nous offre un éblouissement vocal.”

— Le Temps (Full review here)

“À ses côtés, Marie Lys en Cunégonde confirme l’étendue de son talent. La soprano lausannoise avait déjà fait forte impression en Sophie dans «Werther» (également mis en scène par Vincent Boussard). Son air tragicomique «Glitter and Be Gay» est littéralement renversant. Ensemble, Candide et Cunégonde composent un couple à l’impact vocal ravageur qui pousse le reste de la distribution à se surpasser dans des rôles multiples et désopilants.”

— 24 Heures (Full review here)

Handel’s Alcina (title role), Maggio Musicale Fiorentino, October 2022

Jump in for Cecilia Bartoli, Cond. Gianluca Capuano, Dir. Damiano Michieletto

“Et c’est avec un aplomb vocal et scénique stupéfiant qu’elle incarne son personnage, […] elle n’a eu que quelques heures pour intégrer la complexe direction d’acteurs de Damiano Michieletto, sans qu’à aucun moment on ne la trouve hésitante. Les seuls moments de fébrilité sont ceux requis par son personnage, ces moments de fêlures où la magicienne voit son monde d’illusions s’effondrer. Et vocalement, la Suissesse sait ce que signifie battre un trille, ornementant ses arias avec un goût irréprochable. D’une belle puissance et agile à la fois, sa voix s’avère totalement contrôlée, ce qui lui permet d’offrir au public des piani sur le fil d’une douloureuse beauté dans les airs « Ah, mio cor » et « Ah, Ruggiero crudel ». Elle récolte un triomphe personnel amplement mérité au moment des saluts !”

— Opera Online (Full review here)

“Marie Lys presta ad Alcina un timbro ricco di armonici, voce ben proiettata e penetrante. Nell’aria Di cor mio da subito un saggio della sicurezza con cui affronta il personaggio: omogeneità dei registri, scintillante ottava superiore, larghezza di fiati e arcate sonore, buon legato e piccolo trillo che s’innestano su un fraseggio, gioiosa sensualità e gusto nelle variazioni. Si rivela interprete raffinata in Si son quella trovando accenti patetici di frasi sussurrate che già fan presagire la fragilità della maga e la sua caduta […]. Accoglienza trionfale di un pubblico che non riempiva la sala, con vere e proprie ovazioni per la Lys, Vistoli e Capuano.”

— Corriere dello Spettacolo (Full review here)

“Sul palco mancava proprio la regina delle colorature, Cecilia Bartoli, già raffreddata la prima sera e poi afflitta da una laringite. L’ha sostituita nel ruolo eponimo l’esperta Marie Lys, che ha saputo far superare al pubblico la delusione per l’assenza della diva Bartoli.”

— Firenzepost (Full review here)

“[…] la prova della Lys prende quota sino a trionfare nel complesso finale secondo e commuovere nella scena della morte dell’ultimo atto. Il soprano possiede una linea musicale limpida e ben timbrata, che sale con sicurezza in acuto e che mostra una certa duttilità nel canto d’agilità. Nelle arie patetiche sfoggia un canto sul fiato che si fa impalpabile nelle lunghe arcate melodiche, sempre ben sorrette, mentre in quelle di furore sfodera un ottimo dominio delle colorature esibite con grande forza espressiva. Sotto il profilo interpretativo convince su tutti i fronti: prima di tutto per un fraseggio partecipe e sfumato e, in secondo luogo, per la disinvoltura con cui si muove sulla scena (da notare, per altro, la figura aggraziata del soprano), risultato encomiabile se si pensa alla perfetta aderenza ad uno spettacolo tanto complesso senza aver sostenuto prova alcuna.”

— Opera Libera (Full review here)

“La diva Bartoli è stata sostituita da Marie Lys, piacevolissima scoperta, soprano completamente a suo agio nel ruolo eponimo. Dal discorso amoroso di «Di’, cor mio, quanto t’amai» e «Sì, son quella», in cui dimostra omogeneità dei registri, ottima tenuta dei fiati e padronanza del fraseggio, passa con estrema sicurezza e trasporto al dolore di «Ah, mio cor!», acme drammatico tutto giocato su ritmi assai taglienti imposti da Capuano. «Mi restano le lagrime», struggente finale, corona un’interpretazione indimenticabile.”

— NonSoloCinema (Full review here)

“Marie Lys […] si rivela interprete del tutto all’altezza grazie a una voce ben impostata, un fraseggio elegante e grande grazia nelle agilità, oltre a una grande versatilità nelle numerose arie che deve affrontare, passando abilmente dai toni patetici a quelli più concitati. Il pubblico conquistato applaude entusiasta, la delusione per la mancanza della Bartoli è in buona parte compensata.”

— Totalità (Full review here)

“Marie Lys, the young Swiss singer called in at the last minute to replace Bartoli as Alcina, was a wonderful surprise. Her high soprano has a natural, spontaneous quality, with beautiful high notes, easy and free, but still a depth, a “thickness” in her timbre enhancing the dramatic affect. Her lower register had beautiful support and presence, and her technique was spotless. A singer to follow in the future!”

— Bachtrack (Full review here)

Pergolesi’s Stabat Mater & Leo’s Salve Regina, Oslo Kirkemusikkfestival, September 2022

Cond. Christophe Rousset, Les Talens Lyriques

 

“I Leonardo Leos (1694–1744) Salve Regina var det Marie Lys som sto foran orkestret, og hun innledet med en vibratofri tone som gikk rett på tonehøyden, som hun på smakfulleste måte modulerte i klang. Hun kunne med største enkelhet beherske løp og ornamenter i en så fri stil at hun hørtes ut som en instrumentalist, eller i alle fall som en helt sjeldent dyktig sanger i tidligmusikalsk stil. Ikke minst hadde hun en utrolig vakker klang som jeg bare ville høre mer av. Jeg må gå i hukommelsen for å avgjøre om dette er det beste jeg har hørt barokkmusikk synges live.”

“In Leonardo Leo's (1694–1744) Salve Regina, it was Marie Lys who stood in front of the orchestra, and she opened with a vibrato-free note that went straight to the pitch, which she most tastefully modulated in timbre. She could master runs and ornaments with the greatest of ease in such a free style that she sounded like an instrumentalist, or at least like a very rarely skilled singer in an early musical style. Not least, she had an incredibly beautiful sound that I just wanted to hear more of. I'll have to go down memory lane to decide if this is the best I've heard baroque music sung live.”

— Musikkritikk.no (Full review here)

“Idet hun intonerer den første frasen som hilser og lovpriser Maria, er det eneste jeg kan tenke at ¨sånn må det være¨. Stemmen flyter over ensemblet, uanstrengt i høyden og med et klangfullt, men rent uttrykk som går rett inn i kroppen. Sjelden har jeg hørt barokkmusikk sunger så vakkert.”

“As she intones the first phrase that greets and praises Mary, the only thing I can think is ¨so it must be¨. The voice floats over the ensemble, effortlessly high and with a sonorous but pure expression that goes straight into the body. Rarely have I heard baroque music sung so beautifully.”

— Vårt Land (Full review here)

Handel - Il Trionfo del Tempo (Bellezza), Festival de Granada, June 2022

Cond. Fabio Biondi, Europa Galante

 

“La voz más destacada de la noche fue sin duda la de soprano Marie Lys, alada, con muy buen gusto en los adornos de las partes da capo, especialmente brillante en las arias lentas: Io sperai trovar nel vero, o el aria final, Tu del ciel ministro eletto, que consiguió que el concierto terminara con buen sabor de boca.”

— Scherzo (Full review here)

“[…] el cuarteto encabezado por la soprano Marie Lys, especialmente dotada para la exigente coloratura que demanda la partitura; con un instrumento sólido, ágil y bien proyectado haría gala de fraseo preciso como demostró en el aria de bravura “Un pensiero nemico di pace”, en correspondencia con otra de las grandes voces de esta irresistible propuesta del maestro Biondi, la mezzo Vivica Genaux.”

— Opera Actual (Full review here)

Handel - Alcina (Morgana), Opéra de Lausanne, March 2022

Cond. Diego Fasolis, Dir. Stefano Poda

 

“La somptueuse Morgana de Marie Lys rivalise d’hystérie et de passion avec Alcina, ajoutant à ses qualités vocales un splendide jeu d’actrice (« Credete al mio dolore » !).”

— Diapason (Full review here)

“Dès son air d’entrée, « O s’apre al riso », Marie Lys, se lance dans un premier festival de guirlandes et de notes aériennes, tutoyant les sommets de sa voix de soprano léger, virtuose, limpide et d’une aisance déconcertante. C’est la première de ses démonstrations, elles seront nombreuses, et on n’a pas fini d’admirer la verve et la facilité (apparente) des ornements dont elle adornera ses arie. Ornements qu’elle saura rendre expressifs, ainsi dans « Ama, sospira » où sa voix si limpide dialoguera avec un superbe violon solo.”

— Forum Opéra (Full review here)

“Félicitons l’Opéra de Lausanne qui toujours offre des distributions vocales ingénieusement choisies, comme c’est encore le cas pour l’agile et infatigable Morgana de Marie Lys.”

— Anaclase

Handel - Ariodante (Ginevra), Göttingen Handel Festival, September 2021

Cond. Laurence Cummings

 

“Agréablement surpris par la qualité d’un médium nourri chez un soprano réputé léger – les clichés ont décidément la vie dure ! –, nous le sommes ensuite par le tempérament que cette jeune artiste affiche dès son deuxième air (« Orrida agl’occhi miei »), lorsque Ginevra rejette violemment Polinesso. C’est l’amorce d’une incarnation vibrante et fouillée, d’une appropriation du rôle qui se traduit aussi bien par des traits originaux, une réjouissante prise de risque dans l’ornementation (« Volate, amori ») que par l’imagination déployée pour exploiter le formidable potentiel de l’aria da Capo. Un potentiel qui ne vise pas uniquement l’exhibitionnisme vocal, n’en déplaise aux détracteurs d’un genre qu’ils connaissent souvent mal, mais un potentiel également rhétorique. Le développement très personnel que connaît « Il mio crudel martoro » au fil des reprises en offre un splendide exemple. Marie Lys cherche constamment à renouveler l’expression – en essayant ici une nouvelle couleur, là un rallentando… – et parvient à libérer le pouvoir cathartique de cette sublime déploration.”

— Forum Opéra (Full review here)

“Lys gave a detailed rendition in which she coated her voice with pain and longing, subtly inflecting colorful and emotional accents into the vocal line, in which she also showed off the beauty of her upper register. In a more joyous moment, she sang out strongly and clearly, reveling in her love for Ariodante in the aria “Volate, amore,” her excellent phrasing, fast-moving coloraturas, and vibrant presentation communicating her feelings and delighting the audience.”

— OperaWire(Full review here)

“Sa partenaire, la soprano Marie Lys, dans le rôle de Ginevra, touche également à l’excellence et apporte fraîcheur, légèreté et force de caractère à un personnage injustement répudié. Décidément, la soprano helvétique ne cesse de nous surprendre et de nous émerveiller à chacune de ses apparitions (Lotario, Giulio Cesare, Alcina, Acis & Galatea pour ne citer que les opéras de Haendel). Sa grande force est de posséder un médium (voire un bas médium) riche et sonore et d’une grande beauté associé à des aigus et des suraigus faciles et brillants. Sa virtuosité n’aura fait qu’une bouchée de l’air « Volate, Amori » et sa sensibilité à fleur de peau nous aura mis à genoux dans la plainte « Il mio crudel martoro ».”

— Baroque News (Full review here)

G.P. Telemann - Pastorelle en musique (Iris), Innsbrucker Festwochen der alten Musik, August 2021

Cond. Dorothee Oberlinger, dir. Nils Niemann

 

“It was soprano Marie Lys in the role of Iris who proved to be the audience’s favorite, receiving strong applause at the final curtain. She produced a convincing portrait of the lively shepherdess, which was reflected in her vibrant singing. The aria “Soll ich lieben?” in which Iris displays her uncertainty on whether or not to accept love’s invitation caught the eye, in which Lys showed off her vocal versatility and expressivity, displaying her contrasting thoughts with changing intonation, and rising determination with pleasing ornamentations and light coloratura.”

— OperaWire (Full review here)

“Marie Lys, première lauréate à Innsbruck en 2018, possède un instrument à la beauté saisissante et semble mépriser les difficultés vocales dans un phrasé délicat et expressif. Elle joue son Iris d'une manière tellement convaincante qu'on renonce à toute prévention envers l'artifice général de la situation théâtrale. Qu'on pourrait, en définitive, relire aussi comme un manifeste féministe...”

— Crescendo Magazine(Full review here)

G.F. Handel - Orlando (Dorinda), Festival Castell de Peralada, July 2021

Cond. Dani Espasa, dir. Rafael R. Villalobos

 

“Las dos suizas (la soprano Marie Lys, como Dorinda, y la mezzosoprano Eve-Maud Hubeaux, como Medoro) están estelares, especialmente la primera, convertida ya, sin discusión posible, en una de las más formidables voces jóvenes del actual panorama lírico.”

— Scherzo (Full review here)

Vivaldi - Argippo (Osira), Auditório Nacional de Musica, Madrid, March 2021

Europa Galante, Cond. Fabio Biondi

 

“El elenco vocal estuvo sobresaliente, si bien el mayor triunfo lo cosechó esa prodigiosa soprano que es Marie Lys (Osira). Es imposible cantar mejor de lo que lo hizo la helvética.”

— Scherzo (Full review here)

G. Rossini - La Cenerentola (Clorinda), Grand Théâtre de Genève, Septembre 2020

Cond. Antonino Fogliani, dir. Laurent Pelly

 

Last but not least, les deux pestes de sœurs d’Angelina se sont affirmées d’une qualité scénique et vocale exceptionnelle. [...] On reste sous l’emprise de la soprano Marie Lys (Clorinda) qui fait preuve d’une formidable énergie dès les premières scènes. Avec sa voix lumineuse, ses aigus percutants, son jeu scénique débordant, la jeune femme confirme tout le bien que nous avions souligné à son sujet lors de l’Orlando Paladino de Haydn de Fribourg, puis du Lotario de Händel à Berne en mars 2019.”

— Resmusica (Full review here)

© CNDM - Rafa Martín

Concert "Night music" with Dmitry Sinkovsky, Dorothee Oberlinger & Ensemble 1700, Auditório Nacional de Música, Madrid, January 2020

 

“[...] Marie Lys, quien tuvo que prepararse el sustancioso programa ¡en tan solo un día! Pues, señores, como si lo llevase cantando toda la vida. Se trata, como es manifiesto, de una profesional como la copa de un pino, porque, de no saberlo, nadie habría siquiera intuido las vicisitudes relatadas. Con una voz muy bella, la joven soprano exhibió una musicalidad extraordinaria. Precioso su Purcell, la nana sefardí Nani, nani y la chanzoneta de Merula resultaron pura delicia en sus manos, como profundo y emocionante su Haendel y reflexivo el Dowland.”

— Scherzo (Full review here)

“[...] Lys exhibió un bellísimo timbre, una gran facilidad para el registro más agudo, un buen fiato, a la par que un generoso volumen y una natural expresividad teatral. Hay que reseñar que el programa, según contó Oberlinger, era totalmente nuevo para la solista, quien no mostró en ningún momento inseguridades ni apego a la partitura, es más, pareció poseer el repertorio madurado y completamente interiorizado. [...]

Después de la sutil y conmovedora From silent night, interpretada de un modo verdaderamente inspirador y etéreo por Marie Lys, el concierto concluyó con [...] el hermosísimo dueto Welcome as the dawn of day, donde quedó patente la musicalidad tanto de la soprano como del contratenor, siempre atentos el uno del otro en cada fraseo, entrada o cadencia”

— Ritmo.es (Full review here)